C’est comme un jeu de construction. Quand vous avez les éléments, vous pouvez les assembler comme vous voulez. Le principal est que cela tienne debout ou du moins qu’il y ait un certain équilibre. Et même si cet équilibre est fragile, le récit peut vivre. C’est un vrai bonheur d’écrire ! »

À voir les regards brillants et les sourires lumineux des enfants, on peut présumer que des vocations ont vu le jour, ce jeudi-là.